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Spécialisée dans les stress et les traumas

Gréasque

En tant que parents il est toujours compliqué de se dire mais pourquoi mon ado ne veut-il pas me raconter ses problèmes à moi qui l’aime et qui ne veut que son bien ? L’adolescence est une période où le jeune lui-même ne se reconnaît pas, son corps change, sa voix change, ses goûts et ses façons de penser changent. Il a besoin de prendre son autonomie mais ne veut pas faire de peine à ses parents. Il se retrouve donc coincé dans ce nouveau corps avec lequel il doit réapprendre la cohabitation et avec des pensées qui peuvent le perturber.

Lorsque les ados viennent me voir ils sont souvent perdus et se rendent compte la plupart du temps que ce qu’ils pensaient être la source de leur problème n’est pas la cause.

La première chose que je fais quand un jeune vient me voir c’est que je le mets à l’aise, la confiance est primordiale dans tout travail sur soi. Nous parlons ensuite de son ou ses problèmes, de ses objectifs. C'est-à-dire que je lui demande ce qui le fait le plus souffrir à ce moment précis. Le plus souvent un simple recadrage permet de résoudre une partie de la demande. Puis en fonction du besoin, je sors ma mallette de psycho thérapeute et je pioche les différents outils qui lui permettront d’aller de l’avant.

Ce qui est bien avec les ados c’est qu’ils sont partants, curieux et ainsi le travail et les changements sont perceptibles rapidement.




Je reçois de plus en plus de collégiens dans mon cabinet. Il est assez fréquent que les parents soient à l'origine des consultations mais il m’arrive aussi que certains enfants me soient envoyés par le corps enseignants, parfois c’est l’enfant lui-même qui demande à voir quelqu’un car il ne se sent pas bien.


Les demandes sont variées comme par exemples la phobie scolaire, les troubles liés au cadre familiale ou même parfois on parle des problèmes de tous les jours avec les copains, la petite sœur ou la nourriture.

La plupart des collégiens qui viennent me voir ont eu leurs problèmes dès l’école primaire ou même encore lorsqu’ils étaient plus petits. Comme ce petit garçon de 8 ans qui faisait pipi au lit. Le problème venait d’un non-dit lors de la séparation de ses parents à ses 3 ans.

Ou encore ce jeune ado de 13 ans qui ne voulait plus aller au collège car il avait souffert au primaire de moqueries. Ses parents pensaient que cela était passé mais une banale chamaillerie lui a réactivé sa souffrance mais fois 10.

Souvent il est préférable de consulter rapidement quand on voit que notre enfant souffre, cela permet de désamorcer la problématique et de l’empêcher de s’ancrer.


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